La Commission europeenne entrouvre la porte a la Turquie

Le Monde, France
07 octobre 2004

La Commission européenne entrouvre la porte à la Turquie

UNION EUROPEENNE

Le collège des commissaires se prononce, mercredi 6 octobre, pour
l’ouverture des négociations d’adhésion avec Ankara. Mais ce
processus est durci et une clause de rupture est introduite. Les
discussions devront se poursuivre une dizaine d’années pour
satisfaire les conditions de l’UE

Arnaud Leparmentier

BRUXELLES de notre bureau européen

C’est par un « oui » assorti denombreusesconditions que la Commission
européenne devait répondre, mercredi 6 octobre, à la demande de la
Turquie d’ouvrir des négociations d’adhésion. Dans sa recommandation
de 9 pages, le collège des commissaires européens se prononce pour
l’ouverture de négociations maisdurcit sensiblement ce processus de
discussion, précisant que « les résultats ne peuvent être garantis à
l’avance ». Une clause de suspension des négociations est introduite
et plusieurs restrictions sont faites concernant la liberté de
circulation des travailleurs turcs et le versement des aides
européennes. La Turquie s’agace des nombreusesréserves exprimésdans
les pays européens. En France, M. Bayrou, opposant à l’adhésion de la
Turquie, demande que le gouvernement engage sa responsabilité.

TEXTE-ARTICLE:

La Commission européenne devait proposer, mercredi 6 octobre, à
l’Union européenne (UE) d’ouvrir des négociations d’adhésion avec la
Turquie. Dans une recommandation de neuf pages, l’institution
présidée par Romano Prodi propose d’encadrer strictement le processus
d’adhésion. Le texte, qui tente de répondre à toutes les questions
posées par une éventuelle entrée de la Turquie dans l’UE, servira de
base de travail aux chefs d’Etat et de gouvernement, qui doivent
décider au plus tard le 17 décembre de l’ouverture des négociations.
Mercredi, M. Prodi cherchait à obtenir l’unanimité au sein de son
collège sur ce texte, espérant grce à d’ultimes amendements rallier
les commissaires les plus réticents.

Critères démocratiques.

La Commission estime que « la Turquie satisfait suffisamment aux
critères politiques et recommande l’ouverture de négociations ».
Cette appréciation est conditionnée à la mise en oeuvre d’une série
de lois déjà votées, en particulier le nouveau code pénal et la loi
sur les associations. Ankara a accompli « des progrès substantiels
dans son processus de réforme politique », mais des problèmes
demeurent dans le respect concret de l’Etat de droit, des minorités
religieuses, des droits syndicaux. La torture et les mauvais
traitements ayant suscité de graves interrogations chez de nombreux
commissaires, la recommandation précise qu’ « en dépit des efforts
importants la mise en oeuvre doit être encore consolidée ». Elle
ajoute que « l’irréversibilité du processus de réforme, en
particulier sa mise en oeuvre, devra être confirmée sur une plus
longue période ». La recommandation insiste sur la nécessité de
débattre avec la société civile. Cette disposition a pour objectif de
forcer les autorités turques à discuter avec les organisations non
gouvernementales (ONG).

Des négociations à l’issue ouverte.

La Turquie n’est pas assurée de devenir membre de l’Union. « Il
s’agit d’un processus ouvert dont les résultats ne peuvent pas être
garantis à l’avance », précise la recommandation, qui ajoute qu ‘«
indépendamment du résultat des négociations ou du processus de
ratification qui pourrait en découler, les relations entre l’Union
européenne et la Turquie doivent garantir que la Turquie reste ancrée
aux structures européennes ». Sans expliciter la piste d’un «
partenariat privilégié », réclamé par l’UMP en France et la droite
allemande, le texte débattu mercredi ouvrait la voie à un scénario
autre que l’adhésion, en cas d’échec des négociations ou des
référendums sur l’adhésion.

La suspension des négociations.

La Commission a prévu un système de « frein à main », selon la
formule d’un rédacteur du projet, si la Turquie ne confirme pas sa
démocratisation. « En cas de violation grave et persistante des
principes de liberté, de démocratie, de respect des droits de l’homme
et des libertés fondamentales, la Commission recommande la suspension
des négociations et le conseil en décide à la majorité », préconise
la recommandation. Le texte précise que les conférences
intergouvernementales exigent l’unanimité, ce qui permet de
réaffirmer le droit de veto de chaque Etat.

Une adhésion prévue vers 2015.

La Commission précise que l’adhésion ne pourra pas avoir lieu avant
que les Européens aient décidé du budget européen à partir de 2014.
Cela équivaut à prévoir une adhésion vers 2015. Les négociations
seraient conduites de manière plus stricte que par le passé. Pour
clore un chapitre de négociations, la Commission ne se contentera pas
de promesses de réformes, mais devra tirer un bilan satisfaisant de
leur mise en oeuvre.

La non-liberté de circulation des travailleurs turcs.

De nombreux pays européens craignent un afflux d’immigrés turcs. La
Commission précise que « des clauses de sauvegarde permanentes
pourraient être envisagées pour la libre circulation des travailleurs
». Cette mesure, qui ne fait pas l’unanimité, vise à rassurer les
populations européennes mais priverait les Turcs d’une des libertés
fondamentales de l’Union.

Préservation des politiques agricole et régionale.

La Commission estime que le coût de l’adhésion sera de 0,17 % du
produit intérieur brut (PIB) de l’Union (environ 25 milliards d’euros
à l’horizon 2020). Le texte ne prévoit pas un relèvement du plafond
du budget de l’Union, actuellement fixé à 1,27 % du PIB. Il précise
que les négociations se feront « sur la base de l’acquis »
communautaire, ce qui signifie que c’est la Turquie qui devra
s’adapter à l’UE et pas l’inverse. Pour éviter que l’essentiel des
subsides des politiques agricole et régionale soit absorbé par la
Turquie, « des dispositions spécifiques pourront être exigées ». La
Turquie pourrait donc avoir un traitement à part en Europe.

Chypre et l’Arménie.

Le texte ne fait pas de la résolution du problème de Chypre, non
reconnue par la Turquie, qui occupe sa partie nord, une condition
préalable à l’ouverture des négociations. Il évoque le problème
indirectement en rappelant que les négociations « se tiennent dans le
cadre d’une conférence intergouvernementale comprenant tous les Etats
membres de l’Union ». Ce libellé, censé rappeler à la Turquie qu’elle
doit cheminer vers une reconnaissance de Chypre, était jugé
insuffisant par certains commissaires.

Le projet de recommandation ne mentionne pas explicitement l’Arménie,
mais insistait sur la nécessité de profiter de la période de
négociation pour que la Turquie améliore ses relations avec ses
voisins.

From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress

Como liberar rehenes?

El Pais
2 octubre, 2004

Como liberar rehenes?

MARY KALDOR

La irrupcion de la captura de rehenes en el orden del dia de la
politica internacional y en las vidas de los ciudadanos de a pie de
todo el mundo (tanto los que se ven afectados directamente como los
que consumen el fenomeno a traves del espectaculo de los medios) no
es totalmente nueva.

Pero mientras que pasados incidentes como la crisis de los 444 dias
en la Embajada estadounidense en Iran o la captura de occidentales en
Libano en la decada de los ochenta podian entenderse como
ramificaciones especiales de crisis de seguridad determinadas, el
secuestro de rehenes en la era de la “guerra contra el terrorismo” ha
adquirido facetas nuevas y perturbadoras que reflejan la cambiante
relacion entre la guerra y la politica.

Chechenia e Irak revelan esta nueva realidad en su aspecto mas
brutal. El asedio de Beslan, en Osetia del Norte, fue el ultimo de
una tragica serie (Budionovsk, 1995; Kizlyar, 1996; Moscu, 2002),
mientras que la proliferacion de secuestros de trabajadores
extranjeros (periodistas, voluntarios, empleados subcontratados) en
Irak indica un patron de conducta que refleja no solo la presencia
activa de grupos radicales individuales, sino un desorden politico e
incluso moral mas profundo en el que todos los que son testigos de el
estan involucrados de alguna manera.

Para comprender que esta ocurriendo y como nosotros (ciudadanos,
gobiernos, familiares, ONGs, observadores mediaticos) podemos
responder de la mejor manera al secuestro de rehenes, es necesario
evaluar tanto la diferencia entre las guerras “viejas” y las “nuevas”
como las principales estrategias empleadas actualmente por los
Estados en funcion de la experiencia en este campo.

Recuerdo una visita que hice a Baku, en Azerbaiyan, como miembro de
una delegacion de la Asamblea de Ciudadanos de Helsinki, cuando el
pais se hallaba en plena guerra con Armenia por el disputado
territorio de Nagorno-Karabaj en 1992. Un promotor de la construccion
de nacionalidad rusa se acerco a nosotros y nos pregunto si podiamos
ayudarle a encontrar a su hijo, al cual habian hecho rehen en
Armenia. Viajamos con el hasta la frontera y hablamos con las
autoridades locales. Nos dijeron que el hijo del promotor habia sido
secuestrado por una familia en Armenia, que se negaba a liberarle
hasta que su propio hijo, que habia sido secuestrado en Azerbaiyan,
fuera liberado. Esto sin duda describia una extensa cadena de
secuestro de rehenes.

Nos sugirieron que nos dirigieramos a un ex agente del KGB al otro
lado de la frontera armenia. Negociamos un alto el fuego temporal
para poder cruzar la frontera. Nuestros interlocutores armenio y
azerbayano se conocian entre si bastante bien desde antes de la
guerra, y parecian estar abrumados por lo que estaba ocurriendo.
Cuando llegamos al otro lado nos recibio el agente del KGB, que
llevaba uniforme militar y gafas de sol Ray-ban, con un crucifijo
plateado colgado del cuello. Le dimos los nombres de los jovenes
rehenes.

Esta historia en concreto tuvo un final feliz. Los comites de la
Asamblea de Ciudadanos de Helsinki tanto en Azerbaiyan como en
Armenia pudieron emplear la informacion que recogimos para ejercer
presion sobre las autoridades de ambos bandos. El 12 de mayo de 1994,
cientos de rehenes fueron liberados en la zona de la frontera por la
que nosotros habiamos cruzado.

Pero hay otras guerras en las que los rehenes no tienen tanta suerte.
Como mucho son intercambiados por dinero, por armas o incluso por
cadaveres. Pero tambien son obligados a luchar, son violados o
mutilados, mantenidos en cautiverio durante anos o asesinados a
menudo de forma macabra.

Las guerras contemporaneas son muy distintas de las guerras clasicas
del pasado en las que los soldados luchaban contra otros soldados, e
incluso de las mas recientes “guerras menores”, en las que los
adversarios son al menos combatientes reconocibles, como las
guerrillas o las unidades paramilitares. En esta nueva forma de
guerra, las batallas son poco frecuentes; casi toda la violencia la
padecen los civiles, y la distincion entre guerra como tal, crimen
organizado y violaciones de los derechos humanos se diluye cada vez
mas.

Estas guerras estan transformando la relacion entre la politica y la
violencia. En lugar de ser la politica la que sufre la persecucion a
traves de metodos violentos, es la propia violencia la que se
convierte en politica. No es el conflicto lo que lleva a la guerra,
sino la propia guerra la que genera el conflicto. Los insurgentes o
combatientes terroristas intentan establecer el control politico
asesinando o intimidando a los que son “diferentes”, ya sea desde el
punto de vista politico, etnico o religioso. Esto genera miedo y odio
entre todos los grupos sociales involucrados.

Los exodos de poblacion, las violaciones en masa, la destruccion de
edificios y simbolos historicos, no son efectos secundarios de la
guerra, sino parte de una estrategia deliberada.

Los actos de violencia espectacular, como la decapitacion, la
mutilacion de extremidades, la destruccion de mezquitas del siglo XVI
(como las de Banja, Luka o Bosnia) o de estatuas budistas (como en
Bamiyan, Afganistan) estan dirigidos a resaltar y dar autenticidad a
la idea de guerra santa, una lucha epica entre el bien y el mal.

Estas guerras suelen librarse en lo que se conoce como Estados
“fracasados” o “en camino de fracasar”. Dada la falta de recaudacion
fiscal o de patrocinadores extranjeros, la financiacion para estas
guerras se consigue a traves de la violencia (saqueos, pillaje,
“derechos” en las aduanas, comercio ilegal).

Muchos analistas consideran que esta anormal economia politica se
convierte en un sistema autosuficiente y un motivo para la
continuacion de la violencia.

Chechenia e Irak ofrecen ejemplos actuales de como en la practica, la
politica y la economia se difuminan en estas nuevas guerras. En
Chechenia, los generales rusos com

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From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress

American Airport comercializara cafe colombiano en terminales aereas

La Nacion (Argentina)
October 4, 2004

American Airports comercializara cafe colombiano en terminales aereas

American Internacional Airports, la empresa que reune a los distintos
aeropuertos controlados por el empresario Eduardo Eurnekian, llego a
un acuerdo para comercializar las marcas de cafe de la Federacion
Nacional de Cafeteros de Colombia. El convenio incluye las marcas
Cafe de Colombia y Juan Valdez, que seran comercializadas en las 32
terminales y free-shops que tiene el grupo en la Argentina y los
aeropuertos de Carrasco (Uruguay), Guayaquil (Ecuador) y Zvartnots
(Armenia).

Docupolis se amplia con una seccion de documentales catalanes

El Pais
Octubre 5, 2004

Docupolis se amplia con una seccion de documentales catalanes

ISRAEL PUNZANO

Barcelona

Cine proximo a la realidad. El Centro de Cultura Contemporanea de
Barcelona (CCCB) acogera a partir de manana la cuarta edicion de
Docupolis, el Festival Internacional Documental de Barcelona,
organizado por la asociacion de cine y video documental Tercer Ojo.
Mas de 600 peliculas -producidas en 50 paises- compiten este ano por
algunos de los premios del certamen. Galardones que van del
reconocimiento honorifico al filme mas comprometido con los derechos
humanos a la mejor opera prima. Entre las novedades de esta entrega
destaca la seccion dedicada a promover la obra de los cineastas
catalanes.

“Desde sus inicios, Docupolis ha apostado por acercar el genero
documental a las nuevas generaciones. Son peliculas que no suelen
aparecer en las cadenas de television por criterios comerciales”,
explico ayer su director, Hugo Salinas, en la presentacion del
festival. Y anadio: “A veces, nos echan en cara cierta falta de
glamour. Esta critica no nos importa, porque lo que nos interesa es
que la gente vea mas documentales”.

Proyecciones aparte, el festival reivindicara la maestria de dos
autores de estilos dispares: el armenio Artavazd Pelechian, cineasta
experimental al que se dedica la seccion Rescate, y el cubano
Santiago Alvarez, protagonista de la tradicional retrospectiva. La
camara de Alvarez registro algunos de los episodios decisivos de la
revolucion castrista en Cuba, como el primer mensaje dirigido a la
poblacion por Che Guevara tras su victoria. Ademas, el director
homenajeado -que fallecio en 1998- dejo un rico testimonio
periodistico de otros hechos historicos relevantes, entre los que
sobresale su cobertura a la guerra del Vietnam desde el frente
comunista.

Compromiso social

A pesar de la diversidad tematica de las cintas, muchas coinciden en
orientar los focos hacia conflictos actualisimos. Asi, el documental
Grissinopoli muestra al espectador la lucha de unos obreros
argentinos para mantener sus puestos de trabajo en una fabrica
abandonada por los patronos, mientras que la pelicula Punto de
Control refleja las tensiones diarias causadas por las restricciones
de acceso a los palestinos arabes en ciudades cercadas de Israel.

Tendencias urbanas de ultima hora, miradas a la actualidad de
Latinoamerica, un repaso a la produccion de paises mediterraneos y la
divulgacion de cortos innovadores conforman otras areas del certamen.
Docupolis, que se prolongara hasta el domingo, completa su oferta con
una serie de actividades paralelas que incluyen debates y un
seminario sobre el genero a cargo del escritor Antonio Weinrichter.
“Me interesan los documentales subjetivos, retoricos, argumentativos,
reflexivos o tramposos. Como intuyo Godard, el documental puede ser
una especie de ensayo. El cine sirve para discutir vivamente ideas y
no solo para contar historias”, dijo Weinrichter.

El programa detallado de la cita cinematografica documental se puede
consultar en la pagina de Internet:

www.docupolis.org.

Georgia: Dalla strada di tamerlano alla colchide del vello d’oro

La Stampa
Ottobre 2, 2004

GEORGIA: DALLA STRADA DI TAMERLANO ALLA COLCHIDE DEL VELLO D’ORO,
ALLA RUPE CUI FU INCATENATO PROMETEO Tbilisi: vino e spada per amici
e nemici

Ricatto Giorgio

Giorgio Ricatto LA statua della Madre Georgia domina da un colle
Tbilisi: offre una coppa di vino agli amici e una spada ai nemici. La
fortezza di Narikala s’impone a poca distanza. Il fiume Mtkvari, nel
lungo cammino dalla Turchia al Mar Caspio, attraversa la citta’.
Tbilisi e’ un’autentica capitale; nelle contraddizioni della “”nuova
Georgia””, nella grandiosita’ della valle dominata da boschi e monti,
nella straordinaria ricchezza di popoli e culture. Citta’ multietnica
e di grande respiro da sempre, conserva nel quartiere antico tra
chiese ortodosse, i resti di un tempio zoroastriano, una cattedrale
armena, una sinagoga e una moschea sunnita presso le terme. I celebri
bagni di acqua solforosa ancora funzionanti che incantarono Dumas e
Puskin. Accanto, le antiche case dai balconi in legno risorgono dal
degrado, nei vicoli si aprono botteghe, ristorantini, gallerie.

Sul fiume si affacciano le signorili case a balconate ed il quartiere
Avlari con la chiesa Metekhe che una delle tante leggende caucasiche
vuole fondata nel V secolo e sepoltura di una martire cristiana. Sul
viale Rustaveli Gamziri l’architettura residenziale mostra dettagli
neoclassici, moreschi, neobarocchi. Tra poverta’ e innovazione a
Tbilisi si respira un’atmosfera di inquietudine, ogni giorno le
manifestazioni ricordano i bassi salari e la carenza di lavoro, il
grande hotel Iveria d’epoca sovietica si e’ trasformato in rifugio
per i profughi georgiani dall’Abkhazia.

Tutto questo pero’ non intacca l’esuberanza dei georgiani, la loro
vocazione alla gioia di vivere, al banchetto, al gusto per la musica
e la battuta. Il temperamento ospitale e orgoglioso. Viaggiando per
il paese si comprende quanto le tradizioni piu’ autentiche siano
sentite e la musica sia non soltanto un piacere, ma un’educazione
profonda alle proprie radici e al bello.

Il rito del banchetto si ripetera’ con frequenza, per celebrare un
matrimonio o un anniversario in un locale pubblico o festeggiare un
invito privato. Una quantita’ di cibi squisiti e il buon vino sono
protagonisti, poi tanta musica, i celebri canti polifonici che
un’orchestra o i convitati stessi cantano con una bravura sempre
sorprendente. Su tutto regna il “”tamada”” capo del banchetto, colui
che decide i brindisi seguiti da un discorso e che si ripetono tra
musica e allegria. Anche Koba il mio autista e guida, “”Schumacher””
georgiano bravissimo su strade sterrate, si rivela un ottimo
“”tamada””.

Una localita’ remota di grande suggestione e’ David Gareja
sull’itinerario per Telavi. Dopo aver superato i massicci impianti
per la produzione dell’azoto, dinosauri sopravvissuti di un’industria
sovietica consumata da ruggine e abbandono, la campagna si perde in
lontananza su un lago che segna il confine con l’Azerbaijan. Poi la
strada si arrampica su altipiani desertici, appena colorati da un
velluto di erbe selvatiche. Unica traccia di vita una volpe e il volo
di un’aquila a caccia di prede. All’orizzonte i monti assumono
tonalita’ grigio-azzurre-violette sfumando nell’infinito.

Il monastero di David Gareja, antica scuola di pittura e copiatura di
manoscritti e’ chiuso da mura e da una torre di guardia. Si sviluppa
su tre piani e diverse epoche, le celle rupestri affrescate si
disperdono in un’area vasta ai confini con l’Azerbaijan, aspra e
inospitale. In questa natura c’e’ spazio anche per chi desiderasse
ritirarsi nelle grotte e in meditazione. All’insegna del silenzio,
un’upupa mi guarda immobile aprendo la sua cresta a ventaglio. La
strada sterrata continua in una natura magnetica che si colora di
suggestioni, stormi di rondini si alzano compatte come nuvole nere
per volare nel cielo terso, poi alberi da frutta, girasoli, vigne e
campi di mais trasformano il paesaggio in un quadro agreste
rallegrato dal colore e dal canto dei gruccioni.

Telavi, cuore della regione vinicola del Kakheti, antica residenza
dei re Kakhetiani, non e’ soltanto vigneti anche se orgogliosamente
rivendica la primogenitura del vino. Conserva numerosi monasteri sedi
di biblioteche, accademie medievali e ancora visibili orci sotterrati
per la conservazione dei vini. Visitarli vuol dire viaggiare tra
fiumi e fitti boschi, scoprire localita’ incantevoli. Un Caucaso
sperduto che porta al confine con la Cecenia. I complessi monastici
georgiani, come in Armenia, nascondono vie di fuga e si chiudono
nelle mura delle fortificazioni in memoria di antiche invasioni. Meno
severi e misteriosi di quelli armeni sono piu’ luminosi e interamente
affrescati all’interno, anche se il tempo, l’incuria e l’arroganza
sovietica, che spesso ha coperto con una mano di calce affreschi
pregiati, hanno in parte deturpato un patrimonio d’arte sacra oggi in
recupero.

Fra i dettagli, la vite e’ un elemento frequente, decora come un filo
conduttore i monasteri di Armenia e Georgia. Spesso vi sono blasoni e
simboli di un cristianesimo severo, cresciuto su arcaiche credenze
pagane. Sui fiumi Mtkvari e Aragvi, Mtskheta e’ l’antica capitale
considerata Patrimonio dell’Umanita’. Nella cattedrale in cui furono
incoronati e sepolti i re, tra pregiati affreschi, sorgono le
fondamenta della prima chiesa cristiana in Georgia. La leggenda vuole
in questo luogo il ritrovamento della tunica di Cristo. E’ protetta
da mura come la scenografica chiesa di Jvari che domina dall’alto una
valle pervasa da leggende e arte medievale.

Un’area archeologica abbandonata a pochi passi dal fiume tra uccelli,
ranocchie e farfalle, rivela alcuni reperti lasciati in balia di
pioggia e vento, e resti di un palazzo, forse di terme. Viene da
pensare ai tesori nascosti in questa terra dimenticata, forse anche
nell’orto. Lungo la storica Strada Militare Georgiana si percorre la
parte centrale della catena caucasica che separa la Georgia dalla
Russia e si incontra la fortezza di Ananuri, un complesso fortificato
medievale. Sulle parti della chiesa cinta da mura, piante d’uva
scolpite e un ornamento a grappoli d’uva sul portale.

Nella valle il bacino artificiale di Zhinvali che copre quattro
villaggi e’ circondato da picchi caucasici. Sono invece alte pareti
di arenaria dorata a nascondere Uplistsikhe, una citta’ rupestre tra
le piu’ antiche del Caucaso.

Tra grotte e pietre levigate si ripercorre storia e leggenda, si
rievocano riti pagani, l’eta’ del bronzo, vie carovaniere, Tamerlano,
i re georgiani.

Nella valle sul fiume Mtkvari non puo’ mancare una visita in una
cantina secolare. Il custode della citta’ morta mi accompagna per
brindare con un vino nero, denso e morbido, fermentato in otri di
terracotta interrati presso la vasca per pigiare l’uva. Tra campi e
pioppi, Gori custodisce il museo, la casa natale e l’unica statua
rimasta al mondo di Stalin. Un ossessivo ricordo del dittatore, un
paese congelato nelle inquietudini del passato. Proseguo verso
Kutaisi in un paesaggio sempre piu’ verde e montagnoso.

La strada segue il corso del fiume Rikotula tra campi di mais e
colli. Superato il passo Rikoti la regione dell’Imereti si presenta
con picchi a pan di zucchero, nuvole dense e boschi.

Nella Colchide degli argonauti alla ricerca del vello d’oro e di
Medea, tra le vette caucasiche alle quali e’ stato incatenato
Prometeo per il furto del fuoco, la mitologia cede spazio ad
autentici capolavori d’arte medievale: la cattedrale di Kutaisi e il
monastero di Gelati.

GRAPHIC: C.: CANTI POLIFONICI Celebre e’ il “”Supruli”” canto
eseguito durante i pasti, ma vi sono canti polifonici per ogni
occasione, dai canti epici ai canti religiosi. L’educazione musicale
e’ una tappa indispensabile nella formazione di un georgiano.
Entusiasmante e’ la bravura canora dei ragazzi, scoperta in una
scuola di Tbilisi. LA CUCINA Prelibate carni: ovine, bovine e di
maiale magro, stufate con vino e spezie o arrosto (con salse di
susine). Buono il formaggio fresco di capra, lo yogurt (matsoni) e’
denso e saporito. Fra gli antipasti, numerosi e in piccoli piatti,
una specialita’ sono le verdure in salsa di noci e aglio. I
“”khinkali”” sono ravioli di carne. PATRIMONIO DELL’UMANITA’ La
regione montana dello Svaneti conserva le caratteristiche case a
torre della popolazione Svan, antico rifugio dalle invasioni e lotte
tribali. Sotto la vetta piu’ alta della Georgia (Monte Shkhara 5201
m.) Ushguli possiede una ventina di torri.
From: Baghdasarian

Charles Aznavour; Il gusto di essere a meta’

Il Sole 24 Ore, Italia
Ottobre 3, 2004

Charles Aznavour;Il gusto di essere a meta’

Pietro Kuciukian

di Pietro Kuciukian <Sono come il caffelatte>, scrive Shahnourh
Aznavourian, in arte Charles Aznavour, <una volta mischiati gli
ingredienti, non si puo’ piu’ separarli, sono 100% francese e 100%
armeno>. A 80 anni il celebre chansonnier ha preso in mano la penna
per narrarsi.

L’impressione che si ricava e’ che il protagonista sia “un piccolo
grande uomo” cosmopolita, conquistato e reso ricco da vari stili di
vita, come la sua terra, l’Armenia, da sempre invasa e conquistata,
ma crogiolo di etnie e culture diverse, che hanno permesso
all'”armenita'” di conservarsi e sopravvivere oltre le tragedie della
storia.

Nasce a Parigi nel 1924 da una famiglia scampata al genocidio
perpetrato dai Turchi nel 1915: <Sono nato alla fine del viaggio
dall’inferno, la’ dove ha inizio quel paradiso che chiamano
emigrazione>. La sua infanzia, assieme ai genitori e alla sorella
Aida, <dormivamo testa-piedi>, trascorre in una camera di 20 metri
quadrati. A 9 anni la prima esibizione, una danza caucasica sulle
scene del Trocadero. E’ l’inizio di una carriera folgorante che lo
portera’ in ogni angolo del mondo. L’ambiente e’ quello armeno
<quando si credeva al paradiso sovietico e scaldava il cuore
ritrovarsi fra sopravvissuti; era formidabile, era prima, il prima di
tutte le nostre sciagure, di tutte le tempeste, il prima delle fughe,
dell’esodo, delle privazioni, delle delazioni, degli odi e dei
regolamenti di conti, era il tempo della spensieratezza, il tempo
benedetto d’anteguerra>.

Nel 1943 l’incontro con Pierre Roche da’ inizio al duo Roche-Aznavour
<con scritture di testi e repertorio tutto nostro>. A 21 anni sposa
Micheline, che andra’ ad abitare dai suoi genitori. <Eravamo giovani
e innamorati, era la boheme e la boheme, sapete, significava
felicita’>. L’incontro con Edith Piaf, la contraddizione fatta donna,
emancipera’ Aznavour e lo fara’ diventare un gigante dello
spettacolo. <Ho condiviso con lei, fino alla fine dei suoi giorni,
una sorta di amicizia amorosa, di fraternita’ complice, senza mai
condividere il suo letto>. <Il passerotto delle strade di Parigi> lo
condizionera’ per anni e solo quando <il genietto balordo>, come la
Piaf lo aveva soprannominato, si allontanera’ riuscira’ a lanciarsi
nel mondo. La nascita della figlia Seda, il figlio Patrick morto a 25
anni, altre mogli, altri figli, altri amori, il rifacimento del naso,
<il naso dei miei, ne’ ebreo, ne’ borbonico, ma armeno>, la
ricchezza, il cinema <gli attori recitano insieme, i cantanti cantano
da soli>. L’autobiografia termina con la vecchiaia, <l’eta’ in cui si
valuta la vanita’ delle cose… si incominciano a contare i pochi
anni che possono restarci da vivere e l’idea della morte diventa
compagna dei nostri giorni, o piuttosto delle nostre notti. Credente
o no nessuno e’ immune da dubbi, cominciamo a cambiare abitudini, ad
apprezzare la natura,.. vorrei saper dipingere, rimpiango l’epoca
appena terminata, siamo nell’era dell’ognuno per se’, della
volgarita’,… la mia vita e’ erosa di ora in ora spingendomi verso
l’altro versante della mia esistenza, la morte non mi spaventa
piu’…>.

Charles Aznavour, <I giorni prima. Il mio palcoscenico, la mia vita>,
Rizzoli, Milano 2004, pagg. 340, 17,00.

Turchia: UE, gruppi si dividono in parlamento

ANSA Notiziario Generale in Italiano
October 6, 2004

TURCHIA: UE, GRUPPI SI DIVIDONO IN PARLAMENTO / ANSA ;
ANCHE I FAVOREVOLI A AVVIO NEGOZIATI INSISTONO SU DIRITTI UMANI

BRUXELLES

(di Danila Clegg)

(ANSA) – BRUXELLES, 6 OTT – Reazioni discordi al Parlamento
europeo fra i gruppi parlamentari alla notizia che la
Commissione europea ha adottato una raccomandazione con la quale
si invitano i capi di Stato e di governo ad aprire il negoziato
di adesione, seppur condizionato, con la Turchia.

I piu’ preoccupati sono apparsi i Popolari, che oltre a
sollevare l’allarme sulle conseguenze sulla natura stessa
dell’Unione che avrebbe un ingresso della Turchia, hanno anche
paventato il rischio di un legame negativo fra la questione
turca e quella della ratifica della Costituzione europea.

A dar voce alle forti perplessita’ degli euroscettici e
stato il danese Jens-Peter Bonde, il quale ha sottolineato come
la Turchia per il suo peso demografico influirebbe enormemente
sulle scelte dell’Ue, in vista dei nuovi criteri decisionali che
entreranno in vigore con la nuova Costituzione.

Positivo invece il giudizio di una apertura dei negoziati con
la Turchia di Socialisti, Verdi e Sinistra europea. Per tutti
pero’ la parola chiave e’ che l’inizio del negoziato non
significa una sua conclusione e che e’ essenziale passare per un
monitoraggio scrupoloso e rigoroso del rispetto dei diritti
umani in Turchia.

Il capogruppo dei Popolari, Hans Gert Poettering, ha
sottolineato che con l’ingresso della Turchia nell’Unione,
quest’ultima sara’ diversa”. Quanto ai negoziati, Poettering ha
sollecitato i capi di Stato e di governo a non precludere la
possibilita’ che si possano concludere con l’opzione del
partenariato speciale con la Turchia.

Il suo compagno di gruppo, il presidente della comissione
Esteri, Elmar Bork, ha sollecitato Commissione e Consiglio a
fare in modo che la ratifica della Costituzione europea non
“venga resa piu’ difficile” dall’apertura dei negoziati con la
Turchia.

Decisamente piu’ positivo l’approccio del capogruppo del Pse,
Martin Schulz, secondo il quale questa decisione e’ “di
fondamentale importanza e ha un valore epocale”. “L’adesione
della Turchia, infatti, potra’ dimostrare – ha sottolineato – che
la societa’ musulmana condivide gli stessi valori dei cittadini
europei e mettera’ in contraddizione i fondamentalisti”.

Il gruppo dei liberaldemocratici, nella sua maggioranza, ha
precisato il capogruppo Graham Watson, accoglie con favore le
raccomandazioni della Commissione. Watson ha anche posto in
rilievo come “lo scontro di civilta’ vada evitato e come
l’adesione della Turchia contribuira’ alla costruzione di un
mondo in cui le tre grandi religioni monoteiste convivono
pacificamente”.

Il verde Daniel Cohn Bendit ha rintuzzato le preoccupazioni
dei popolari sulle conseguenze di una adesione turca sulla
natura stessa dell’Unione, osservando di avere fiducia nel fatto
che l’adesione non modifichera’ le sue convinzioni profonde e i
valori dell’Unione. I negoziati – ha sottolineato Cohn Bendit –
devono andare avanti: “se la Turchia sbaglia sara’ richiamata,
se le trattative falliscono, si vedra’ “.

Piu’ problematico l’approccio di Francis Wurtz, capogruppo
della sinistra europa, il quale ha sollevato il problema della
“minaccia alla liberta’ di espressione” contenuta nel nuovo
codice penale turco, l’occupazione militare di Cipro e il
mancato riconoscimento del genocidio armeno.

Che la questione turca tagli trasversalmente i gruppi lo
dimostra la presa di posizione di Guido Podesta’ di Forza
Italia, il quale ha apprezzato il rigore e l’equilibrio
dimostrato nei negoziati dal commissario Vereughen.

L’europarlamentare ha quindi sottolineato come accettando
l’impostazione della raccomandazione sulla Turchia, gli
eventuali timori vadano eliminati. Si deve quindi mantenere
l’impegno, pur senza garantire automaticamente l’adesione, ha
osservato Podesta’. (ANSA).

From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress

Presidente commissione chiede rispetto risoluzione con Armenia…

ANSA Notiziario Generale in Italiano
October 7, 2004

CAMERA: SELVA RICEVE MINISTRO AZERBAIJAN ;
PRESIDENTE COMMISSIONE CHIEDE RISPETTO RISOLUZIONE CON ARMENIA

ROMA

(ANSA) – ROMA, 7 OTT – Il Presidente della Commissione Esteri
della Camera, Gustavo Selva, ha ricevuto a Montecitorio il
Ministro degli Esteri della Repubblica dell’Azerbaijan, Elmar
Mammadyarov.

Il Ministro, informa una nota della commissione, ha fatto un
ampio quadro della situazione politica ed economica
dell’Azerbaijan che, dopo la lunga appartenenza all’Unione
Sovietica, come Stato indipendente sta ora consolidando i suoi
rapporti con i Paesi europei attraverso le organizzazioni
internazionali (NATO, OSCE e CONSIGLIO D’EUROPA) alle quali gia
aderisce.

Il Presidente Selva, nel prendere atto dei progressi compiuti
dalla Repubblica dell’Azerbaijan sulla via dello sviluppo
democratico e del rispetto dei diritti umani, ha chiesto che il
ministro si faccia portavoce presso i piu’ alti responsabili
azeri affinche sia rispettata la risoluzione adottata i 5
ottobre scorso dall’Assemblea Parlamentare del Consiglio
d’Europa riguardante la soluzione pacifica della controversia
con l’Armenia per il Nagornyi-Karabach.(ANSA).

From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress

UConn wins $500,000 for Armenian studies program

WTNH, CT
Oct 9 2004

UConn wins $500,000 for Armenian studies program

(Storrs-AP, Oct. 9, 2004 11:50 AM) _ The University of Connecticut
has won a half- million grant to restart an Armenian studies program.

The gift is from Alice Norian who died five years ago. She once
viewed an exhibit of Armenian rugs and other artifacts in the early
1980s at the university.

Norian was a long-time Enfield elementary school teacher who
graduated from Eastern Connecticut State University. When she died
with no heirs, she bequeathed 504 thousand dollars to U-Conn. The
endowment is expected to be supplemented by a 252 thousand dollar
state grant.

The new program will expand an exchange program, offer an annual
lecture series, provide courses on culture and history and develop
publications to help educate Americans about the southeast European
country.

Soccer: Kuqi double helps Finland beat Armenia 3-1

Reuters
Oct 9 2004

Kuqi double helps Finland beat Armenia 3-1

HELSINKI, Oct 9 (Reuters) – Stand-in striker Shefki Kuqi struck twice
either side of a goal by Aleksei Eremenko as Finland beat Armenia 3-1
in a World Cup qualifier on Saturday.

Kuqi, replacing the injured Mikael Forssell, got his first
international goal for three years with an easy tap in after eight
minutes when he was set up by Eremenko.

Eremenko then made it 2-0 with a 28th minute free kick — his fifth
goal in four World Cup qualifiers — before Armen Shakhgeldyan got
one back for Armenia with a free kick deflected by Finland defender
Sami Hyypi past keeper Antti Niemi.

Finland dominated the second half but could not add a third goal
until Kuqi wrapped up the points in the 87th minute with a curling
strike from long distance that went in off the post.

After four games Finland are level on nine points at the top of Group
One with Romania, who were playing their fourth match against Czech
Republic on Saturday. Finland travel to Amsterdam to face the
Netherlands in their next qualifier on Wednesday.