Sylvie Vartan: 2004 ou l’année du grand retour

Edicom, Suisse
5 Avril 2004

Sylvie Vartan: 2004 ou l’année du grand retour
par Rachid Aouli

PARIS (AP) – Après un silence radio de quelques années et de brèves
incursions au cinéma, 2004 marque le grand retour de Sylvie Vartan.
Avec d’abord un retour en chansons et un nouvel album sobrement
baptisé «Sylvie» (Mercury/Universal) dans les bacs depuis ce lundi,
en même temps que le premier extrait «Ce n’est pas rien».
C’est en musique que Sylvie Vartan fait son retour sous les feux de
la rampe avec un album enregistré en Italie et à Los Angeles. Réalisé
par Paul Manners, qui a oeuvré pour Kelly Joyce ou Tina Arena,
«Sylvie» a également fait appel pour les textes et les compositions à
de jeunes talents, parmi lesquels Frédéric Lô, Laurent Marchet ou
Daran. Beaucoup plus connu, son fils David, né en août 1966 de son
union avec Johnny Hallyday, signe un texte, «Au rythme du coeur».
Egalement publiée lundi, une autobiographie intitulée «Entre l’ombre
et la lumière» (Editions XO). Sylvie Vartan, icône des années
«yé-yé», y raconte une enfance vécue, malgré les difficultés, dans
l’amour d’une famille attentionnée, entourée de parents très soudés
et d’un grand-père francophile averti.
Sa mère hongroise, son père bulgare d’ascendance arménienne, tous
deux voulaient le bonheur de Sylvie sur cette terre d’accueil
qu’était la France. Le père, tout artiste qu’il était, avait même
accepté un emploi de tripier aux Halles à Paris, tandis que la
famille vivait dans une petite chambre d’hôtel.
Mais qui dit nouvel album dit aussi nouveau spectacle: c’est à partir
du 28 septembre que Sylvie Vartan foulera à nouveau la scène du
Palais des Congrès de Paris pour douze représentations
exceptionnelles dans une mise en scène de Walter Painter.
Et si Sylvie Vartan n’a jamais caché son goût pour les mises en scène
sophistiquées des «shows» à l’Américaine, c’est tout naturellement
qu’elle exposera à partir du 16 octobre et jusqu’au 27 février 2005
au Musée parisien de la mode Galliera ses plus belles robes de scène.

From: Emil Lazarian | Ararat NewsPress

Emil Lazarian

“I should like to see any power of the world destroy this race, this small tribe of unimportant people, whose wars have all been fought and lost, whose structures have crumbled, literature is unread, music is unheard, and prayers are no more answered. Go ahead, destroy Armenia . See if you can do it. Send them into the desert without bread or water. Burn their homes and churches. Then see if they will not laugh, sing and pray again. For when two of them meet anywhere in the world, see if they will not create a New Armenia.” - WS