Livres: Varto: chronique d’un génocide

Le Huffington Post Quebec– Canada
10 juin 2017
Publication: 10/06/2017 12:02 EDT Mis à jour: 10/06/2017 12:02 EDT
                                                                   
Robert Laplante ,Journaliste bédé et littérature de l’imaginaire                                                     
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L'été pointe le bout de son nez. S'il est impossible de trouver du beau temps ici, on peut toujours faire un tour en Europe, particulièrement en France où on le sait le ciel est bleu et le soleil resplendissant depuis l'élection d'Emmanuel Macron. Si d'aventure vous vous hasardez à Paris, il faut absolument visiter le Mémorial de la Shoah qui accueille jusqu'au 30 octobre une exposition essentielle consacrée à sa représentation dans le 9e art. De Calvo au Spirou d'Émile Bravo en passant par Mickey, Captaine America, Bilal, Spiegelman et plusieurs autres, toutes ses déclinaisons sont présentées aux visiteurs. Un moment de réflexion pour nous rappeler la pertinence de la bande dessinée comme transmetteur privilégié de la mémoire.

Le ciel est rouge sur l'Arménie
Parmi les nombreux ilots de cette exposition, un est consacré aux autres victimes des prétentions raciales non seulement des nazis, on pense aux Romanichels, mais aussi d'autres nations comme les Arméniens qui subiront d'avril 1915 à juillet 1916 les politiques génocidaires d'un Empire ottoman entre les mains des Jeunes-Turcs. C'est cette tragédie que raconte Varto, 1915 deux enfants dans la tourmente du génocide des Arméniens que les éditions Steinkis viennent de republier et dont on retrouve quelques planches au Mémorial.

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Publié initialement en 2015 pour commémorer son centenaire, Varto raconte le génocide à travers les yeux de Maryam et de Varto, deux jeunes Turcs d'origine arménienne, et d'Hassan jeune adulte turc qui a promis à son père de les conduire en lieu sûr, au-delà des lointaines montagnes. Un dangereux voyage où la faim, la soif, le froid et la menace de militaires et de villageois à la recherche d'Arméniens les guettent derrière chaque rocher, derrière chaque bosquet, derrière chaque coin sombre de la montagne.

Roman graphique bouleversant Varto prêche par sa retenue.

Roman graphique bouleversant Varto prêche par sa retenue. Alors que les auteurs auraient pu traiter le génocide de façon violente et sanglante, en insistant sur l'horreur de la situation, ils ont adopté un regard plus pudique, en demi-teinte, plein de sous-entendus et de non-dits que le trait élégant de Stéphane Torossian traduit avec justesse et émotion.

Un regard à hauteur d'enfant de la tourmente quotidienne d'une population stupéfaite, impuissante devant la situation, en quête de réponses, isolée dans une Turquie reculée à l'écart du monde, Varto trace un portrait nuancé sur ces tristes événements, ne cherche pas de coupables, ne distribue ni d'accusation, ni de condamnation, préférant proposer des personnages humains, faits de contradictions, capables du meilleur et du pire, passant au fil des pages de bourreaux à sauveteurs, victimes des réponses toutes faites et des préjugés alimentés par des politiciens et des puissants en mal de pouvoir.

On ne peut que féliciter Steinkis de rééditer dans une version plus abordable cette bande dessinée qui rappelle à notre mémoire défaillante ce génocide enfermé dans des livres d'histoire de moins en moins consultés.

La face cachée de Lénine.
Pour certain, il était l'incarnation d'un mal à l'état pur, un Lex Luthor bien en chair, pour d'autres il était l'ultime espoir des classes laborieuses exploitées jusqu'au fond de leur âme. Antéchrist ou sauveur de l'humanité Vladimir Illitch Oulianov dit Lénine, dont on fêtera dans quelques mois son tragique coup d'État, fut un des personnages les plus marquants du XXe siècle. Il était donc normal que celui dont le seul nom faisait trembler les démocraties bourgeoises occidentales et le clergé et soulever les passions enthousiastes des damnés de la terre soit l'objet d'un volume de la très belle collection. Ils ont fait l'histoire de Glénat et Fayard. C'est maintenant chose faite avec ce Lénine signé Antoine Ozanam, Denis Rodier en collaboration avec l'historienne et spécialiste de l'URSS Marie-Pierre Rey.

À l'instar des autres albums de cette série, Lénine explore les aspects moins connus de la vie du célèbre révolutionnaire. Exit les grands moments de la prise du Palais d'Hiver de Saint-Pétersbourg, raconté avec verve et puissance par John Reed dans ses 10 jours qui ébranlèrent le monde! Bye-bye la guerre civile! Les auteurs préfèrent s'attarder sur le complexe processus qui amène ce jeune étudiant expulsé de l'Université de Saint-Pétersbourg, fils d'une famille noble désargentée, frère d'un conspirateur pendu le 11 mai 1887 à la suite d'un complot contre le Tsar, vers les idéaux révolutionnaires, la clandestinité et l'organisation du futur paradis soviétique et de son homme nouveau.

S'appuyant sur des documents inédits rendus disponibles lors la chute de l'URSS en 1991, ce Lénine n'est ni une hagiographie, comme il s'en est écrite beaucoup lors de la déstalinisation où il devenait celui qui avait vu ses idéaux trahis par Staline, ni un pamphlet anti-Lénine. Les auteurs optent plutôt pour une vision sans complaisance, explorant la personnalité ambigüe du révolutionnaire pugnace, redoutable politicien, à l'ambition démesurée, mais animée d'un réel désir de justice et d'égalité sociale, qui sème les graines de ce qui deviendra entre les mains de son successeur ce monstrueux état totalitaire et sanguinaire.

Ozanam peut compter dans cette exploration sur le graphisme efficace et le montage dynamique, loin du statisme de ce genre d'exercice, de Denis Rodier qui a su lui insuffler une vie propre. Un véritable défi pour le dessinateur québécois, puisqu'à la différence de Staline, qui jeune révolutionnaire a vécu une vie d'aventures, Lénine fut avant tout un intellectuel moins à l'aise sur les théâtres violents de la répression étatique et de la révolution.

On en aurait toutefois pris plus. Un diptyque ou un triptyque aurait permis aux auteurs de dévoiler plus sa personnalité, d'aborder ses relations personnelles et professionnelles et d'éviter d'utiliser les trop longues ellipses qui quelques fois peuvent briser le rythme.

Si la jeunesse de Staline publiée aux Arènes est prévue en plusieurs volumes, la vie de Lénine le mérite tout autant.

Gorline Aprikian, Stéphane Torossian, Jean-Blaise Djian, Varto, 1915, deux enfants dans la tourmente du génocide arménien, Steinkis.
Antoine Ozanam, Denis Rodier, Marie-Pierre Rey, Lénine, Glénat/Fayard.

Des élèves réunionnais lauréats du Concours National de la Résistance et de la Déportation

ZInfos974, France
10 juin 2017
Des élèves réunionnais lauréats du Concours National de la Résistance et de la Déportation


Car il permet aux jeunes générations de perpétuer la mémoire de la résistance et de la déportation et t’en tirer des leçons, le Concours National de la Résistance et de la Déportation (CNRD) a été étendu à plusieurs établissements scolaires depuis 2015. 
  Ce jeudi, les prix du Concours ont été remis aux lauréats des établissements réunionnais dans les salons de la préfecture à Saint-Denis.

Benard Emilie, du lycée Georges Brassens à Saint-Denis et Charles Emilien, du lycée Bellepierre se sont illustrés dans leur devoir individuel ayant pour thème "La négation de l'Homme dans l'univers concentrationnaire nazi". Les collégiens Torqueo Loan et Kischenin Satya du collège Juliette Dodu à Saint-Denis ont également remporté un prix. 

Les élèves du collège Michel Debré au Tampon qui ont travaillé sur "Le génocide arménien" sont quant à eux les lauréats du 2e prix national du Concours Bulles de Mémoire dans la catégorie "Groupes 11-14 ans".

Génocide arménien: les partis, seuls, ont joué avec le feu

Le Soir– Belgique
7 juin 2017
Génocide arménien: les partis, seuls, ont joué avec le feu

Dans l’exclusion d’Özdemir, Lutgen applique la ligne défendue il y a une semaine.

Ce vendredi, le CDH a décidé d’exclure sa députée Mahinur Özdemir, qui s’est refusée à reconnaître le génocide arménien. Cette décision est logique et surtout cohérente. Le président Lutgen applique ainsi la ligne défendue dans son interview au Soir, il y a une semaine.

Le sujet qui porte sur un épisode criminel de l’histoire européenne, est complexe et continue d’opposer deux communautés dans la manière de qualifier ces événements. Y-a-t-il eu ou pas génocide des Arméniens par les Turcs ? Certains Etats ont décidé de répondre oui, d’autres n’ont pas tranché, s’en remettant à une consultation internationale. Mais ce n’est pas cela qui est en cause ici. Personne, et certainement pas la presse, n’oblige les Belges, qu’ils soient ou non d’origine turque, à adopter l’une ou l’autre position. Personne d’ailleurs n’en a le droit car la Belgique fait partie de ceux qui n’ont pas tranché. Aucune loi n’a été adoptée, et personne ne peut être condamné pour déni de génocide arménien, contrairement à la Shoah.

Ce sont certains partis politiques, et eux seuls, qui ont allumé le feu qui risque de brûler désormais, et de rejaillir sur une partie de la société, en la divisant. Sans que personne ne les y pousse, certaines formations politiques ont adopté une position limpide revendiquée haut et fort au nom de leurs valeurs, en condamnant sans ambiguité le génocide arménien. Ces valeurs sont-elles négociables ? Peut-on accepter que des membres et à fortiori des élus, pensent autrement sur ce sujet, que la ligne du parti ? Le CDH a tranché, c’est non. Chez Ecolo, la présidente Zakia Khattabi nous a déclaré que cela ne pouvait se produire chez eux, « leurs listes n’étant pas composées de façon communautariste  ». Le PS, lui, veut donner l’impression qu’il prend plus de hauteur que d’autres, en acceptant un « dialogue », alors qu’il s’est placé dans une incohérence née surtout de tactiques électoralistes. Les partis qui ont décidé de reconnaître le génocide armenien, ont créé ce risque d’incohérence et se devaient de le gérer. Il est particulièrement lâche aujourd’hui de reporter les conséquences de cette non gestion, sur ceux qui ne font que la leur mettre devant les yeux.

Ajoutons que ce sont ces mêmes partis qui ont donné l’occasion de constater leur incohérence en plein jour, en souhaitant une minute de silence dans les Parlements. On ne joue pas avec le génocide, pas plus pour des raisons électorales que pour se donner bonne figure. Certains l’apprennent à leurs dépens, ils feraient aussi bien de l’assumer.

El Ayuntamiento de Valencia reconoce el genocidio armenio

Valencia Extra– España
9 jun. 2017

Foto: Diego Delso

09/06/2017 – Redacció VLC Extra

La Junta de Gobierno Local ha aprobado hoy una moción en la cual reconoce el genocidio del pueblo armenio. El año 1984, la ONU y en 1987, el Parlamento Europeo, reconocieron los hechos de la masacre armenia, calificándolo como crimen contra la humanidad. La moción, impulsada por la concejalía de Cooperación, dirigida por Berto Jaramillo, además de sumarse a este reconocimiento oficial, también condena los crímenes. El Ayuntamiento de València da respuesta a la petición planteada por la Asociación Armenia Ararat, que ya ha conseguido que más de 24 ciudades y un gran número de países reconozcan la masacre.

Este año se cumple el 102 aniversario del Genocidio Armenio, considerado como el primer genocidio del siglo XX. Entre los años 1915 y 1921 tuvieron lugar un conjunto de masacres y deportaciones de la población armenia del actual territorio de Turquía, especialmente durante el régimen de los Jóvenes Turcos, en el cual murieron 1.500.000 ciudadanos y ciudadanas armenios y otros 2.000.000 tuvieron que abandonar sus hogares y esparcirse por todo el mundo, formando la gran Diáspora Armenia.

Las masacres se caracterizaron por su brutalidad y la utilización de marchas forzadas con las deportaciones en condiciones extremas, que generalmente llevaban a la muerte a muchas de las personas deportadas. Un exterminio que el abogado polaco Rafael Lemkin, calificó de genocidio, utilizando este término por primera vez en el vocabulario internacional.

Actualmente el Estado de Turquía niega la existencia del genocidio, lo cual han reconocido países como el Uruguay, Argentina, Bélgica, Canadá, Chile, Chipre, Francia, Grecia, Italia, Líbano, Lituania, Holanda, Polonia, Rusia, Eslovaquia, Suecia, Suiza, El Vaticano, Venezuela y Alemania, así como 44 estados de los Estados Unidos de Norte América. Cinco comunidades autónomas de España (País Vasco, Cataluña, Baleares, Navarra y Aragón) y 24 ciudades (Mislata, Burjassot, Bétera, Xirivella, Manises, Silla, Aldaia, Alzira, Carcaixent, Elda, Alaquàs, Paiporta, Alacant, Torrent, Santa Coloma, Pinto, Santa Margarita, San Sebastián, Puente Genil, La Roda de Andalucía, Benalmádena, Mérida, Málaga, Sabadell,) también lo han hecho.

Ara Malikian: "La música clásica está estancada en un mundo cerrado"

El Mundo– España
8 jun. 2017
  • 8 jun. 2017 10:16
Ara Malikian, durante su concierto en Gijón, la semana pasada. EFE



Armenia y Uruguay muestran sus secretos en el festival Folklore Bizian de Galdakao

El Correo– Uruguay
8 junio 2017


Astrónomos de la USC llevan a Armenia su tecnología para observar estrellas dobles

santiago / la voz 07/06/2017 05:00

Los doctorandos de la USC Jorge Gómez Crespo y Luca Piccote, que forman parte del equipo de astrónomos del observatorio Ramón María Aller que dirige el profesor Docobo llevan a cabo en el Astrofísico de Buyrakan, en Armenia, una campaña de observación de estrellas dobles para la que están haciendo uso de la cámara de interferometría speckle del observatorio compostelano y que, acoplada a un telescopio armenio de 2,6 metros de apertura, permite obtener datos astrométricos y fotométricos de las binarias.

Las estrellas dobles son pares de estrellas asociadas por la mutua atracción gravitatoria y describen órbitas en torno a su centro de masas común. A partir de sus órbitas es posible determinar las masas de sus componentes.

Estas estrellas constituyen la principal línea de investigación del observatorio de la USC desde que Ramón María Aller introdujo su estudio en España. En los últimos años se han realizado campañas de interferometría speckle de binarias con grandes telescopios tanto en Europa como en América.

Zartonk Daily 10.06.2017

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Սիրով՝

«ԶԱՐԹՕՆՔ»ի
Խմբագրութիւն



An Invitation to the Exhibition of Rostom Voskanian’s and Jenik Simonian Cook’s Art Work

PRESS RELEASE
Ararat Foundation
3115 Foothill Blvd., M-173
La Crescenta, CA. 91214
www.AraratFoundation.org
1-818-790-4905

La Canada Flintridge,CA- The general public, art lovers and art collectors alike are cordially invited to a great art exhibit of accomplished painters, artists and sculptors Rostom Voskanian and Jenik Simonian Cook to be held at Stephanie's Art Gallery in La Canada Flintridge. Early and late paintings of these rediscovered master painters will be on display from Friday, June 16 thru Saturday, June 17 and Sunday, June 18, 2017.

Born in Tabriz, Iran, Rostom's education began with an Armenian school in Tehran and continued at the Alborz High School. He graduated from University of Tehran at the School of Art and was awarded the Prestigious Parisian scholarship to attend " L'Ecole Beaux Arts. " He returned to his Alma mater in Tehran as an Assistant professor where he worked with renowned architects and professors and eventually he became the Dean of Tehran University's School of Architecture until 1987. During his tenure, he engaged in many different architectural projects, private residences, commercial entitles, government projects and much more. In 1987, through Rostom's avantgarde approach, his vision and originality, a beautiful and unique work of art known as the " Holy Cross Chapel " was was brought to life on the grounds of the Ararat Stadium in Tehran.
Rostom has participated in numerous solo and group exhibitions in Tehran, Paris, Los Angeles, and New York. He was the recipient of many awards including the first price from the Paris University, and the Golden Medal at the Biennially of Fine Arts of Tehran in 1957.

Rostom's descriptions of the psyche, of wonder, of silence and light, and time, when taken out of context becomes the description of his existence . His love of life is expressed in his work which is original and magnificent. He has brought his imagination to life without the concern of being praised or judged by the viewer. 

Jenik Simonian Cook was born in Iran of Armenian parents and immigrated to United Kingdom where she received her education in medical field and later on in her permanent residence in the United States at Bakersfield College of Art. She is the recipient  of numerous awards mainly Outstanding Artist of 20th Century in 2000, Visual Artist of the Year in 2004,  Congressional Recognition from Brad Sherman of Los Angeles in 2005, Micheal Angelo Award from Italy in 2006, American Hall of Fame in 2009, Leonardo Da Vinci Award in 2010, and American Art Awards in 2013.

Jenik Cook, to power her vision of work goes back to the roots of gestural modernism, finding dancing line, elastic contour and fervid color in surrealism, in fauvism, in abstract expressionism itself. She is creative and her art work has special originality specified to her signature only.  

The opening reception is on Friday, June 16, 2017 from 6 pm to 9 pm. The exhibit will continue thru Saturday, June 17, 12 pm-6 pm and Sunday, June 18, 12 pm-6 pm. 
Part of proceeds to benefit Ararat Foundation's " Project Artsakh-Rebuilding Karvajar "
The admission to the art exhibit is free of charge. Refreshments will be served.
Stephanie's Art Gallery is located at 466 Foothill Blvd. La Canada Flintridge, CA 91011. For information please contact (818) 790-4905.



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Armenia’s ruling party official raises Azerbaijan’s destructive policy issue in EPP Political Assembly

Armenpress News Agency , Armenia
June 9, 2017 Friday


Armenia's ruling party official raises Azerbaijan's destructive policy
issue in EPP Political Assembly



YEREVAN, JUNE 9, ARMENPRESS. Armenia attaches importance to the
signing of the new comprehensive and expanded partnership agreement
with the European Union, assuring that it will continue its reforms in
the political and human rights arenas, Armen Ashotyan – vice president
of Armenia’s Republican Party said at the Political Assembly of the
European People’s Party (EPP).

“We fully realize that reforms will contribute to Armenia’s progress
towards a large-scale democracy and will enable to maximally benefit
from positive changes”, Ashotyan said.

He touched upon the closure of the OSCE Yerevan Office – as result of
Azerbaijan’s veto – mentioning that although Armenia and OSCE will
continue further constructive cooperation, this occurrence is yet
another proof of Azerbaijan’s destructive policy.

As a new example of Azerbaijan’s human rights violations, Ashotyan
mentioned the kidnapping of an Azerbaijani journalist from Tbilisi to
Baku, where he has been arrested and is awaiting criminal punishment.

“I would also like to emphasize the role and significance of the OSCE
Minsk Group – as the only effective tool of maintaining stability and
settlement of the conflict. In this context, I would like to
underscore that for the first time the OSCE MG Co-Chairs made a
targeted statement on May 18 in the Nagorno Karabakh conflict
settlement negotiation process – regarding the escalation in the line
of contact during May 15-17”, Ashotyan said.