In A Couple Of Years Armenia May Turn Into Desert

IN A COUPLE OF YEARS ARMENIA MAY TURN INTO DESERT

ArmInfo News Agency, Armenia
Nov 29 2006

As a result of illegal deforestation, Armenia will shortly turn into
a desert. This is shown in a documentary presented in the Tekeyan
Center in Yerevan, Wednesday.

The authors of the film say that according to the research held by
the World Bank and the "Armenia Tree Project" benevolent fund, 80% of
the country’s territory is suffering deforestation at the moment. In
his conversation with an ArmInfo correspondent, Mher Sadoyan, the
ATP regional deputy director, noted that during the past 12 years,
about 1.5 mln trees have been planted in Armenia and Nagorno-Karabakh
by the Fund’s efforts.

The presentation of collected articles entitled "To Spread the Idea is
to Plant a Tree" (1.5 thousand copies), as well as a seminar of ecology
specialists and teachers were held in the Center. In the course of the
activities, the participants discussed a number of issues related both
to their work and ecology in general. About 55 teachers of ecology
from Yerevan, as well as from Lori, Kotayk and Syunik regions, took
part in the seminar. As regards the collection, it is meant for 4-9th
formers and comprises theory and practice on protection of nature and
environment. To note, the Fund was established in 1994. Its activity
is aimed to restore and protect the bio-system of Armenia.

BAKU: NATO Does Not Participate In Resolution Of Nagorno-Karabakh Co

NATO DOES NOT PARTICIPATE IN RESOLUTION OF NAGORNO-KARABAKH CONFLICT

TREND Information, Azerbaijan
Nov 29 2006

James Appaturai, the spokesman for NATO, stated that the alliance will
not participate in the resolution of the Nagorno-Karabakh conflict
and has no plans to be involved in the future, Trend reports.

Mediamax Special Correspondent in Riga reported that the spokesman
stated NATO’s position, which urges OSCE to continue taking an
important role in talks on the resolution of the Nagorno-Karabakh
conflict.

With respect to intensive discussions with Azerbaijan, Mr. Appaturai
stated that Azerbaijan had never appealed to NATO with such a proposal.

Ilham Aliyev: "We Managed To Agree On Previously Uncoordinated Issue

ILHAM ALIYEV: "WE MANAGED TO AGREE ON PREVIOUSLY UNCOORDINATED ISSUES"

Regnum, Russia
Nov 29 2006

"We are now at the stage when the future of the negotiation process
depends on us. From this point of view, I generally assess the results
of our recent meeting," Azerbaijan’s President Ilham Aliyev said in an
interview to AzTV commenting on the meeting with Armenia’s President
Robert Kocharyan in Minsk on November 28. "During our last meeting
very serious talks were held, we discussed disputable issues.

For the recent time, we have managed to settle a number of issues. We
managed to agree on previously uncoordinated issues, but there are
some principal questions, under which our opinions differ, we discussed
them as well," the Azerbaijani president noted.

At the same time, Ilham Aliyev said: "We are approaching the last
stage of talks on the Nagorno-Karabakh conflict settlement."

According to him, within the last three years the talks were held in
the frameworks of the Prague Process, and "during this time enough
meeting were held with participation of the presidents as well as of
foreign ministers, at which, of course, ways of settling the problem
were discussed." "For this period we have managed to overcome certain
stages and are close to the last stage of talks," the president said.

Speaking on Azerbaijan’s position, Ilham Aliyev said: "We advocate
settlement of the problem observing the principle of Azerbaijan’s
territorial integrity. UN resolutions should be implemented. The
Azerbaijani territories should be freed from the occupants
and more than 1,000,000 of our citizens should be returned to
their territories. We are satisfied with the recent activity of
international institutions. They stated their position to settle the
conflict observing the principle of territorial integrity. Of course,
it strengthens our position," APA quotes Aliyev as saying.

Turquie Le Silence Des Chretiens

TURQUIE LE SILENCE DES CHRETIENS
par Sophie Shihab correspondante a Istanbul

Le Monde, France
28 novembre 2006 mardi

Armeniens, Syriaques ou Grecs, quelques dizaines de milliers de
non-musulmans, issus de communautes orthodoxes, ont reussi a survivre
en se taisant. Aujourd’hui, ils espèrent

Comme tous ses camarades, la jeune Sinem Goksu, dont le nom
parfaitement turc cache une origine syriaque, suivait les cours
de religion – uniquement d’islam sunnite – obligatoires dans la
Turquie " laïque ". " C’etait lors de l’examen de fin du primaire
", raconte la jeune fille devenue, a 24 ans, cadre dans une societe
de telecommunications. " J’ai brusquement entendu un garcon crier :
"Sinem est chretienne ! Sinem est chretienne !" Ce garcon rendait leurs
cartes aux elèves, après l’examen. En voyant la religion inscrite sur
la mienne, il sauta sur les tables en l’agitant comme un fou… J’ai
pleure, et mon amie, pour me proteger, a dit aux autres : "Ce n’est
pas grave, elle va devenir musulmane !" " Sinem se souvient qu’elle
avait alors acquiesce… Reflexe de prudence d’une enfant, seule
chretienne de sa classe. La case " religion " existe a ce jour sur
les cartes d’identite, meme si, depuis deux ans – processus europeen
oblige -, les Turcs ne sont plus obliges de la remplir. " A l’ecole,
precise Sinem, je me sentais differente, mais je n’en parlais jamais,
sans doute parce que mes parents n’en parlaient pas ; les massacres
et tout ca, ce n’est pas notre histoire familiale. "

Après les Armeniens, les Syriaques sont la deuxième minorite non
musulmane de Turquie, avec quelque 25 000 personnes. Mais ils auraient
ete dix fois plus nombreux avant 1914… Un mystère que Zeki Demir,
un charge de communication de leur Eglise, refuse d’expliquer.

" Le passe, vous en parlez beaucoup mieux en Europe ", esquive-t-il.

Les Syriaques emigres parlent en effet de leur " genocide ",
contemporain de celui des Armeniens. Mais les Syriaques d’Istanbul, "
bien integres et plus modernes que les emigres ", dit Sinem, prefèrent
se taire. " Ce sont les gens de Tor Abdine, notre region d’origine au
sud-est de la Turquie, qui peuvent vous en parler. Mais je doute qu’ils
le fassent au telephone, car ils sont sur ecoute ", precise Zeki Demir.

Dans les collines autour de Mardin, jadis, a 80 % chretiennes, il ne
reste plus que deux ou trois villages a population syriaque. Et l’on
y parle moins des massacres de 1915 que des assassinats plus recents,
cause d’une emigration qui s’est acceleree ces dernières decennies. "
Quand nous allons au marche, nous croisons un de ces assassins, un
Kurde au service de certaines forces de l’Etat qui veulent tous nous
chasser ", confiait, en 2005, un des piliers de cette communaute
decimee, dont des rescapes s’accrochent a leur terre et parlent
toujours une forme d’arameen, la langue du Christ.

Sinem, nee a Istanbul, n’a jamais ete dans le Tor Abdin. Elle frequente
l’eglise – le seul endroit où les Syriaques peuvent se retrouver, car
ils n’ont pas le droit d’avoir des ecoles communautaires. Mais elle
craint de ne pas y trouver de mari. Les garcons syriaques, dit-elle,
" font moins d’etudes que les filles, car ils peuvent travailler avec
leurs pères orfèvres ", occupation majoritaire des Syriaques. Elle
tient pourtant a epouser un chretien.

" Pour que – ses – parents ne soient pas trop tristes. "

C’est sans doute pourquoi, dans le cafe branche d’Istanbul où
Sinem retrouve ses amis, les chretiens sont aussi nombreux que les
musulmans, qui forment pourtant plus de 98 % de la population. Et
tous semblent d’accord pour ne pas trop parler du passe. " Je suis
content pour les Armeniens de France, qui ont reussi a imposer leur
point de vue sur le genocide, qui leur sert d’identite ", dit Arek,
tout juste rentre de quatre ans d’etudes a Paris. " Mais ce n’est pas
mon histoire. Je dirais que nous, les 50 000 Armeniens de Turquie,
avec nos trente eglises et notre dizaine d’ecoles, nous sommes les
mieux lotis. Nous avons surtout la chance d’etre encore a Istanbul,
un lieu historique pour les Armeniens, et nous devons la cultiver.

Car, si les Turcs avaient voulu, ils auraient pu nous tuer tous… "

Raffi Hermonn, lui, est journaliste. Il est revenu en janvier d’un "
exil " de vingt-cinq ans, en France et en Armenie. Qualifie d’agent
turc par les nationalistes armeniens et d’espion armenien par les
nationalistes turcs, Raffi a passe ces annees a briser les tabous qui
separent les deux peuples. Une tâche qu’il poursuit desormais dans sa
Turquie natale, au sein de l’Association turque des droits de l’homme
(IHD). Dans le discours qu’il a prononce, debut novembre, devant son
congrès, il a ose se declarer " armenien, et donc representant de la
memoire, de la conscience et des reves, bons et mauvais, de ce pays
". Tout en saluant les Kurdes, Syriaques, Juifs, Grecs et autres
minoritaires qui devront jouir de leurs pleins droits " sous le
parapluie commun " de la culture turque.

Ces mots, encore sacrilèges a l’aune de l’ideologie kemaliste, ont
fait forte impression sur une association en crise, formee d’anciens
gauchistes et de nationalistes kurdes, traditionnellement retifs a de
tels propos. Mais ceux-ci ont vote pour lui a plus de 80 %. Succès
qui l’a consacre premier cadre " non musulman " de l’IHD. Signe,
estime-t-il, de l’amelioration du climat general en Turquie.

" Le plus etonnant, raconte Raffi, fut de voir 36 de ses membres
kurdes et turcs venir m’avouer après le congrès qu’ils avaient aussi
des origines armeniennes – une grand-mère pour trente-quatre d’entre
eux. Meme au sein de l’IHD, ils n’osaient pas le dire publiquement.

Par la force de l’habitude, disaient-ils, mais ils se promettaient
de ne plus le cacher. " Ces " grands-mères " etaient les femmes et
fillettes armeniennes qui avaient ete soustraites aux massacres de
1915 par des familles turques et elevees comme musulmanes. Depuis
quelques annees, certains de leurs descendants n’hesitent plus a en
parler, et des livres sont parus sur le sujet. Mais, vu l’ampleur du
phenomène, beaucoup reste a faire.

La peur reste un sentiment commun dans les familles armeniennes.

Certaines n’ont pas appris leur langue a leurs enfants pour les
proteger, les rendre invisibles. Mais M. Hermonn voit la chose
autrement : " En ce moment, en tant que chretien, on vit des choses
très interessantes en Turquie. On sent toujours le danger, mais
il est garni de tant de beaute, de folklore, d’histoires… Et
d’erotisme aussi, qu’il ne faut pas oublier… " Coupant court a
sa tirade lyrique, Raffi avoue qu’il est parfois qualifie ici de "
Don Quichotte ", puis cite un proverbe qui veut que les situations
sans solution soient " resolues par les fous ".

Ces " fous " seraient deja des centaines en Turquie, si l’on compte
les minoritaires chretiens qui n’ont pas hesite, fin septembre,
a signer une lettre ouverte courageuse : elle denoncait la facon
dont l’Etat turc les instrumentalise en s’en tenant a la lettre du
traite de Lausanne. Ce traite de 1923 accorde des droits religieux et
educatifs aux seules " minorites non musulmanes " reconnues par Ankara,
c’est-a-dire aux Armeniens, aux Juifs et aux Grecs. Mais le traite
precise que les memes droits doivent etre appliques aux musulmans qui
vivent en Grèce, ce qui fut rarement le cas. Ce principe obsolète de
reciprocite sert donc de pretexte aux manquements d’Ankara vis-a-vis
de ses propres minoritaires.

Consideres ainsi comme des etrangers, voire comme des " ennemis
de l’interieur ", les Turcs grecs – qui sont appeles " Roums ",
c’est-a-dire Romains au sens de Byzantins – ont parfois ete victimes de
pogroms. Certaines fonctions administratives et certains metiers leur
ont ete interdits. Aujourd’hui, cette communaute roum ne compte plus
que quelques milliers de membres, alors que ses traces architecturales
emplissent la ville – eglises, lycees et immeubles divers de plus en
plus vides, que l’Etat a saisis a tour de bras après la montee des
tensions sur Chypre en 1974.

Mais certains refusent de considerer ce declin comme ineluctable. Tel
Dimitri Frangopoulo, qui a dirige pendant quarante ans le principal
lycee grec de la ville et fut un des organisateurs d’une première
conference sur les Roums, cet ete, a Istanbul, en presence de membres
de cette communaute venus d’une dizaine de pays. " Je ne leur ai jamais
reproche d’etre partis, ils ont assez souffert ici, mais j’ai toujours
defendu l’idee qu’un noyau roum devait se maintenir ici coûte que coûte
", dit-il. " Car nul ne sait de quoi l’avenir est fait. Et parce que
les choses s’ameliorent deja, avec la volonte turque d’entrer dans
l’Union europeenne ", precise cet enseignant dont les petits-fils
frequentent son ancien etablissement.

Une loi sur les fondations appartenant aux minorites, passee en
novembre, interdit toujours aux enfants de citoyens etrangers de
frequenter les ecoles des minorites religieuses. Ce qui menace
celles-ci de fermeture et touche particulièrement les enfants des
dizaines de milliers de ressortissants de l’ex-Armenie sovietique
qui travaillent, illegalement, en Turquie.

" Mais cela ira mieux petit a petit, après les elections en
Turquie, si le parti au pouvoir, l’AKP, qui nous a beaucoup aides
pour notre conference, parvient a s’y maintenir ", veut esperer
Dimitri Frangopoulo. Un Don Quichotte, lui aussi ? " Non, estime
Raffi Hermonn. Il a raison de tabler sur l’AKP, qui est plus liberal
qu’islamiste, et en tout cas bien moins nationaliste que l’opposition
dite laïque et republicaine, ce que les Occidentaux ne veulent pas
voir. " C’est en effet le principal parti d’opposition qui a durci la
loi sur les fondations. Son chef, Deniz Baïkal, n’a-t-il pas repete
au Parlement, cette annee encore, qu’en " Turquie, où il n’y a pas
de minorites, tout le monde est turc et musulman " ?

–Boundary_(ID_9lQzYobgfXdzTi4FON42gg)–

Armenian Parliament Ratifies Armenian-Georgian Inter-Governmental Ag

ARMENIAN PARLIAMENT RATIFIES ARMENIAN-GEORGIAN INTER-GOVERNMENTAL AGREEMENT OF COOPERATION IN EXPOSURE AND RETURN OF HIJACKED VEHICLES

ArmInfo News Agency, Armenia
Nov 27 2006

Armenian parliament ratified Armenian-Georgian inter-governmental
agreement of cooperation in exposure and return of hijacked vehicles.

Deputy Head of the Armenian Police, Ararat Mahtesyan, said the
agreement provides for activation of bilateral cooperation in the
exposure, confiscation and return of hijacked vehicles to their
owners. The problem is prevention of such phenomena. During 2006,
35,000 motor vehicles were inspected in Armenia, and 175 hijacked
cars were exposed. 106 of 175 were acquired and imported to Armenia
from Georgia. The Georgian party has not ratified the agreement yet.

Tensions in Iranian-Armenian Community

AZG Armenian Daily #225, 24/11/2006

Diaspora

TENSION IN IRANIAN-ARMENIAN COMMUNITY

The Athens based "Armenia" news informed about an
event that took place quite recently and aroused the
indignation and concern of the Iranian-Armenian
community members.

In accordance with March 9 2005 decision, the Islamic
Parliament of Iran allocated about 17 billion 500
million reals from the state budget for the
constitutionally recognized national and religious
minorities for their sports, cultural and mass media
activities. Teheran’s Armenian community received 4
billion 700 million reals (about USD 535.000). The sum
was handed to Mr. Gevorg Vardan deputy of the Northern
Iranian Armenians at the parliament. The letter gave
the state allocations only to the structures that
belonged to the Armenian Revolutionary Federation.
Thus, the financial allocations meant for the whole
Armenian community of Tehran went only to the Dashnak
structures and organizations.

Qaramyan May Go To Kiev

QARAMYAN MAY GO TO KIEV

A1+
[06:02 pm] 22 November, 2006

FC "Dinamo" of Kiev is interested in midfielder of the Armenian
national football team Artavazd Qaramyan.

At present Qaramyan is in "Rapid". The contract with the Bucharest
club ends in December, 2006.

According to the Romanian press, the Armenian player has disagreements
with the club over the points about salary in the new contract. And
"Dinamo" is trying to make use of the situation and sign a contract
with Artavazd.

President of the Ukrainian club Igor Surkis has met Qaramyan lately
in discussed issues about the possible transfer.

Continuing To Teach Genocide In Illinois

CONTINUING TO TEACH GENOCIDE IN ILLINOIS

PanARMENIAN.Net
22.11.2006 18:36 GMT+04:00

/PanARMENIAN.Net/ Skokie, IL- A professional development teachers’
institute day took place to help Illinois educators expand Armenian
Genocide education offerings. The two-hour session at Niles North High
School in Skokie was in response to interest from the teachers and
a request from an Armenian teacher who works at the school, reported
the Genocide Education Network of Illinois. The ongoing ANC-Illinois
initiative to meet the newly created genocide education mandate
-HB0312, led to the establishment of the Genocide Education Network
of Illinois (GENI), which acts as a clearinghouse to disseminate
information to teachers about genocide. Co-founder of GENI, Karine
Birazian presented for over two hours to teachers on the history of
the Armenian Genocide, the current denial existing in Turkey, and
even the Nagorno Karabakh conflict. An educational resource CD was
distributed to each teacher that included various documents on the
Armenian Genocide provided by Richard Kloian from the Armenian Genocide
Resource Center, reports the Armenian National Committee of America.

Merzlyakov: "Yerevan Gives Consent For Meeting Of Armenian And Azeri

MERZLYAKOV: "YEREVAN GIVES CONSENT FOR MEETING OF ARMENIAN AND AZERI PRESIDENTS IN MINSK"

Regnum, Russia
Nov 22 2006

"The Armenian side has given its consent for a meeting of Armenian
and Azerbaijani presidents in Minsk on November 28, within frameworks
of the CIS summit," OSCE MG Co-Chair (Russia) Yuri Merzlyakov told
reporters at Zvartnots Airport (Yerevan) before leaving for Baku on
November 22. According to him, "we need to receive confirmation from
Azerbaijan’s President Ilham Aliyev as well, although earlier the
Azerbaijani foreign minister made several statements on the topic."

Speaking on absence of OSCE MG Co-Chair (USA) Matthew Bryza in the
delegation of mediators, Yuri Merzlyakov said that it was caused by
the fact that "the co-chairs agreed to divide duties, and these days
our American colleague is to meet Arkady Gukasyan, who is now in the
United States."

Speaking on outcomes of his visit to Armenia, he said his meetings
with Armenia’s President Robert Kocharyan and Foreign Minister Vardan
Oskanyan were "effective." "Generally, the year is being finished
at a quite optimistic point and if we manage to preserve this mood,
we shall enter 2007 with quite good prospects. Despite the fact that
elections generally put restraining influence upon the negation
process, we believe the achievements we managed to have this year
will allow us overcome the pre-election period easier," the Russian
OSCE MG co-chair said.

Central Bank Governor Says Government Eager To Crackdown On Shadow E

CENTRAL BANK GOVERNOR SAYS GOVERNMENT EAGER TO CRACKDOWN ON SHADOW ECONOMY

Armenpress
Nov 21 2006

YEREVAN, NOVEMBER 21, ARMENPRESS: Central Bank governor Tigran
Sarkisian told journalists today that the government has worked out
an all-embracing plan of actions to drastically reduce the volume of
shadow economy.

Sarkisian described the document as ‘very serious’ saying also a prime
minister-affiliated council to help promote entrepreneurship will
be set up soon. The Central bank governor said one of the projected
actions is to crucially increase the number of transactions subject
to mandatory cashless settlement.

He said the government believes it would become an effective instrument
to thwart attempts of some businessmen to hide the real amount of
their financial flows. He said serious administrative innovations are
expected to be introduced to allow tax officials to crackdown on tax
evasion more effectively.

The governor said this document would be send to parliament after
being carefully examined by the council that would be established
under the prime minister.